La 4e de couv. indique : "Assez tôt, j¹ai compris que je n¹allais pas pouvoir faire grand-chose pour changer le monde. Je me suis alors promis de m¹installer quelque temps, seul, dans une cabane. Dans les forœts de Sibérie. J¹ai acquis une isba de bois, loin de tout, sur les bords du lac Baikal. Là, pendant six mois, à cinq jours de marche du premier village, perdu dans une nature démesurée, j¹ai tdché de vivre dans la lenteur et la simplicité. Je crois y œtre parvenu. Deux chiens, un poœle à bois, une fenœtre ouverte sur un lac suffisent à l'existence. Et si la liberté consistait à posséder le temps ? Et si la richesse revenait à disposer de solitude, d'espace et de silence - toutes choses dont manqueront les générations futures ? Tant qu¹il y aura des cabanes au fond des bois, rien ne sera tout à fait perdu."